Dirty Boxing avec Daniel Sullivan : éclectisme et pragmatisme

1Venu en mars 2017 à l’initiative de François Ladasic de l’académie K Shok de Rennes, Daniel Sullivan a dispensé pour la première fois en France un stage de Dirty Boxing. Nous l’avons rencontré  lors de son étape parisienne. Un très beau moment d’échange et de partage !

Originaire de Californie, Daniel Sullivan a dedié sa vie aux arts martiaux. Cette quête personnelle placée sous le signe de l’efficacité a débouché sur la création de son propre style, baptisé : Dirty Boxing.

 

Daniel, pouvons-nous abordé votre background martial, comment tout a débuté ?

Je viens d’une famille disloquée, adolescent je n’avais que le surf à l’esprit et je manquais de repères. En 1985, alors au lycée, je fais une rencontre qui bouleversera ma vie, celle de Dan Inosanto. C’est le début de mon voyage martial ! En 1993, je fonderai ma propre académie et en 1999, je serai certifié instructeur en Jeet Kune Do et Arts Martiaux Philippins. Durant toutes ces années d’apprentissage, je n’aurais de cesse de voyager et d’apprendre différents styles. Dan m’a introduit auprès l’importateur du Muay Thai aux États-Unis ; le maître, Chai Sirisute et je me suis rendu de nombreuses fois au pays du Siam. J’ai été une vingtaine de fois aux Philippines , j’évoluais sous la coupe de Tony Diego. Je suis également détenteur d’une ceinture noire en jiu jitsu brésilien sous Cleber Luciano.

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