Née en 1975 à Bafou, au Cameroun, Dominique Saatenang est bien connu en France aujourd’hui pour promouvoir l’esprit et la culture Shaolin, notamment à travers les spectacles de la troupe « Shaolin Black and White » créée en 2012 mais aussi à travers ses participations avec les célèbres Moines de Shaolin au 30e Festival des Arts Martiaux (2015, Palais des Congrès) et au 1er Festival des Arts Martiaux Nord-Europe (2015, Lille).
Il publie cette année le livre de sa success story empreinte de philisophie Shaolin, Ouvre ta main et tu possèderas le monde.
« Mon père voulait que je sois footballeur. Je suis devenu le Bruce Lee africain. »
À onze ans, Dominique Saatenang quitte son village natal, au Cameroun, pour Douala, la grande ville, afin que ses talents de footballeur aient toutes les chances d’être repérés. Mais il y découvre l’univers de Bruce Lee – et c’est la révélation : « Je veux faire du kung-fu. »
Sa jeunesse sera un véritable parcours du combattant, mais jamais Dominique ne déviera de sa voie. Il part en Chine faire un stage d’un mois chez les moines Shaolin. Il y restera quatre ans, réussissant l’exploit d’être le premier Noir admis dans ce temple ou l’apprentissage des arts martiaux est une philosophie de vie.
Aujourd’hui, l’ancien champion de kung-fu devenu le premier moine bouddhiste africain est l’ambassadeur itinérant du temple Shaolin à l’étranger. Revenu à la vie civile, celui que les Chinois surnomment « l’Aigle noir » a des milliers de disciples en France et en Afrique, ou il a ouvert plusieurs écoles de kung-fu.
C’est cette success story, celle d’un destin exceptionnel, construit à la force d’une volonté farouche, qu’il retrace ici, nous faisant voyager de l’Afrique à la Chine, pont entre deux cultures qu’a priori tout oppose.
C’est aussi une leçon de sagesse à travers laquelle nous découvrons la philosophie Shaolin. Celle-ci imprègne chaque page de cette autobiographie, autant que la puissance d’un rêve d’enfant devenu la réalité d’une vie d’adulte.
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Ci-dessous, l’article du Point à ce sujet :