Skorpios Academy : Entre loisir et compétition

La Skorpios Academy prend ses marques en plein cœur de Montreuil. Au programme, des cours hebdomadaires dans neuf styles de combats différents, aussi bien pour les débutants que pour les confirmés. Le tout avec des intervenants de renom, qui font la richesse de ce club d’arts martiaux. Patrick Gomes Da Costa l’a fondé en 2012. Nous l’avons rencontré. Auteur : Auxane LOUBAT Photos : Auxane LOUBAT et D.R A 47 ans, Patrick Gomes Da Costa se défini comme un passionné d’arts martiaux.

Boubacar Blade, tête d'affiche du circuit et également entraîneur à la Skorpio Academy
Boubacar Blade, tête d’affiche du circuit et également entraîneur à la Skorpio Academy

Il a commencé à en pratiquer dès l’âge de 9 ans. « J’avais de la boxe française dans mon école. J’ai arrêté la boxe pour faire du foot mais ça ne m’a pas plu, alors je suis retourné aux arts martiaux. » A 28 ans, il pratique le karaté, et un an plus tard il se lance dans le Pankido. Une discipline qu’il n’a plus quittée. Après plusieurs années de pratique, Patrick a l’idée de fonder son propre club, d’abord en passant par le statut d’association. Direction Montreuil, pour y aménager ses futurs locaux. « J’ai presque toujours vécu dans le 92, mais j’ai choisi Montreuil pour être plus accessible. Le club est proche d’une station de métro, c’est ce que je voulais. »

C’est donc ici que se déroulent chaque semaine les cours, dans une salle qui mesure pas moins de 200m2, en sous-sol. « J’aimais bien l’aspect un peu underground, arriver dans cette cave. Alors qu’en fait, on n’a pas du tout l’impression que s’en est une. » La salle ne manque pas de lumière, et est organisée en différents espaces. Mais ce qui fait la différence de ce club d’arts martiaux, c’est la renommée de ses intervenants. La Skorpios Academy compte plus d’une dizaine de professeurs, pour neuf formes de combats enseignées. « J’essaie d’avoir des professeurs d’excellence, pour proposer aux adhérents une pratique sportive avec des personnes qui connaissent la compétition et qui maîtrisent leur art. Ils sont très pédagogues ». (…)

Photo et texte : Auxane Loubat
Pour pouvoir lire la suite de cette interview, vous pouvez vous procurer le magazine Karaté Bushido ici.

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