Farès Ziam ne veut pas brûler les étapes. Le combattant franco-algérien de l’UFC estime avoir besoin d’un combat supplémentaire avant de se confronter au top 15 de sa catégorie.
Corriger les erreurs avant le grand saut
Vainqueur de ses trois derniers combats, Ziam reste lucide sur les aspects à améliorer. Son point faible ? La gestion du sol et du grappling, un domaine où ses adversaires récents ont su exploiter des failles.
"Peut-être qu'il me faut encore un combat. Mon coach m'a dit que lors des trois derniers combats, mon adversaire a pris mon dos, et ce n'est pas bon. Dans le top 15, si ton adversaire prend ton dos, il sera difficile de s'en sortir."
Avant d’affronter l’élite, Ziam veut être prêt à 100 %.
Une montée en puissance contrôlée
Farès Ziam a un plan clair : se stabiliser dans le top 15, viser ensuite le top 10, puis le top 5 et enfin la ceinture. Loin de se précipiter, il préfère parfaire son jeu et gommer ses erreurs avant d’affronter les meilleurs.
"Je veux être prêt pour le top 15."
Avec cette approche méthodique, Ziam se donne toutes les chances de progresser et d’accéder aux combats les plus prestigieux.
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