Le Djokan, l’Âme de la Guyane !

 
Un enseignement, une culture, un accomplissement, une voie…
 
Le Djokan nous vient de Guyane française, créé en 2010 par « Gran Dôkô » (Maître-fondateur) Yannick Théolade.
 
Basé sur la mobilité, la fluidité et l’adaptabilité du corps et de l’esprit, le Djokan a été pour la première fois au Festival des Arts Martiaux de Paris Bercy, le 24 mars prochain.
 
Issue d’un lourd passé colonial, la Guyane est aujourd’hui un pays riche sur le plan de la diversité culturelle et sur le plan linguistique.
 
Plus d’une trentaine de langues sont parlées en Guyane, mais une, rassemble les consciences : le créole guyanais, la langue régionale.
 
Celle que tous les Guyanais comprennent quelque soit leur origine (amérindienne, bushinengé, métropolitaine, haïtienne, hmong, brésilienne, chinoise…).
 
C’est donc aussi la langue du Djokan. Ce dernier est un Art de vivre, qui permet à chacun de s’épanouir et de se développer physiquement, mentalement et spirituellement.
 
Le DJOKAN est bien plus qu’un Art Martial, c’est un patrimoine Guyanais, une identité culturelle.
 
Par Pascal Iglicki.
 
Retrouvez la suite de cet article dans le numéro 394

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