Nice Fight Night VI : Johny Tancray, le nouveau « mec heureux » de la WPMF

Lorsqu’il est monté sur le ring de la salle Leyrit de Nice le 4 mars dernier, Johny Tancray était déterminé. Le public a immédiatement remarqué que le visage du Réunionnais ne laissait aucune place au doute : il était prêt !

Auteur : Stéphane Rossi

Photos : Raphaël

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Johny était en effet prêt à se lancer une série de défis : continuer à boxer au plus haut niveau, à 45 ans. Prêt à affronter une montagne, une vraie, le Thaïlandais Seamanut, champion du monde WPMF chez les moins de 71 kg, coaché par Anuwat Kaewsamrit. Prêt, surtout, à se surpasser pour aller chercher cette ceinture. Cinq rounds plus tard, au terme d’une véritable guerre qui aura vu Semanut vaciller dans la dernière reprise, et se faire compter, le pensionnaire du Kimé Dojo de Nice, triomphait. Et, en ce 4 mars, il portait haut les couleurs de son île natale, de la France, au sommet de la hiérarchie de la boxe internationale.

 

Johny, comment se sent-on après une telle victoire ?

Franchement, je suis un mec heureux. Je voulais cette ceinture. Surtout, ce que je voulais par-dessus tout, moi qui ne suis jamais allé en Thaïlande, c’était rencontrer un Thaï. Lorsque j’en ai parlé à un coach, Xavier Lafaye, il a décidé de me chercher celui qui était le meilleur de ma catégorie de poids. C’était Semanut. Je ne le connaissais pas, mais j’ai regardé plusieurs de ses combats. C’est un nak-muay impressionnant.

 

Retrouvez la suite de cet article dans le numéro 421 de Karaté Bushido disponible ici.

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